charte des élu-​es Sud Educ

 

Les élu∙e∙s SUD éducation s’engagent à :
▶ porter les valeurs défendues par SUD éducation
▶ garantir l’égalité de traitement des collègues et à
lutter contre les passe-droits
▶ relayer les revendications des établissements en
lutte
▶ se faire les porte-paroles des collègues dans les
instances
▶ rédiger des comptes-rendus réguliers et informer largement
▶ défendre les personnels dans les commissions disciplinaires, dans le respect des valeurs
de SUD éducation (anti-racisme, anti-sexisme, anti-LGBTIphobie...)
▶ Se former afin de défendre au mieux les collègues.
▶ Ne tirer aucun avantage personnel de leur mandat
▶ continuer à contester la multiplication des postes SPEA (postes spécifiques académiques)
qui faussent le mouvement, préfigurent le recrutement des enseignant∙e∙s par les chefs
d’établissement lors d’entretiens semblables à ceux du privé, ouvrant la porte aux passe-droits
et aux discriminations.
▶ aider les collègues à faire valoir leurs droits à la mutation, notamment en les aidant à
vérifier que ni erreur ni oubli n’ont été commis par l’administration
▶ défendre les personnels en situation de handicap susceptibles d’obtenir des bonifications
de barème : faire état des situations particulières afin d’obtenir les dispositions les plus
favorables aux collègues.
▶ veiller à ce que les vœux des TZR soient respectés : prise en compte des vœux
géographiques, refus des affectations hors-zone ou dans une autre discipline sans leur accord,
interventions pour limiter au maximum leurs déplacements.
▶ continuer à être en lien avec le terrain, dans leur école ou établissement d’abord, et en
participant à la vie du syndicat dans leur département d’autre part.
▶ construire collectivement les mandats, les votes et les
déclarations liminaires avec son syndicat mais aussi ses
collègues.
En tant qu’élu-es, nous sommes destinataires de documents de travail de
l’administration, parfois dits « confidentiels ». Les élu-es SUD éducation ne
font pas partie d’un sérail qui nous tiendrait à la confidentialité. Dès lors que
ces documents ne sont pas nominatifs et qu’ils peuvent aider aux luttes,
nous nous sentons autorisés à les diffuser librement.